Extrait du « Carnet de Gaston Deschênes »
... En sortant de l’exposition, avant de quitter l’édifice, il ne faut pas manquer les bornes informatiques qui semblent en pénitence dans le coin gauche du hall. Elle valent le détour, littéralement, même si personne ne signale leur présence au visiteur. Sans avoir à payer le droit d’entrée, on peut fureter dans six recensements (1851 à 1901), identifier les habitants de Québec, connaître leur âge et leur profession, et même situer leur rue sur la carte de la ville. La Société du 400e devrait mettre cette base de données en ligne au plus tôt : c’est de loin ce qui est offert de mieux sur le plan historique dans cet édifice.
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2008/06/_passagerspassengers_beaucoup_1.php
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